La vie quotidienne des mineurs au temps de Germinal *
La vie quotidienne des mineurs au temps de Germinal / B. Plessy et L. Challet
Tout, tout, je veux tout savoir sur mes "racines" dans le pays minier, pour ceux qui suivent mes lectures ces temps-ci. J'ai donc emprunté cet ouvrage avant de relire cet été le célèbre Germinal.
Qu'on imagine à l'époque, "par le fait de cette formidable mutation économique, un pays jusque-là vert, un pays de villages et de villes marchandes, (qui) se mâchure de noir. Au damier des champs, à la dispersion ancienne des villages, aux larges mailles des voies vicinales se surimposent le réseau des chemins de fer, le fouillis obscur des terrils, des chevalements et des carreaux, les plaques géométriques des corons dans un pays sans grand relief pour briser la vue." (p. 31).
Les auteurs, après avoir planté le contexte, passe en revue les lieux et les différents corps de métiers, au fond puis au jour. Ils nous font ensuite visualiser la carrière du mineur, son patois, ses luttes, ses loisirs et fêtes, sa vie quotidienne.
Un documentaire intéressant, dont on tire beaucoup d'informations, et la conclusion qu'Emile Zola a voulu dans Germinal insister sur la misère des mineurs, créer des images frappantes pour faire passer un message fort, et donc obligatoirement oblitérer les jeux et moments heureux de la vie quotidienne de ces mineurs.
Tout, tout, je veux tout savoir sur mes "racines" dans le pays minier, pour ceux qui suivent mes lectures ces temps-ci. J'ai donc emprunté cet ouvrage avant de relire cet été le célèbre Germinal.Qu'on imagine à l'époque, "par le fait de cette formidable mutation économique, un pays jusque-là vert, un pays de villages et de villes marchandes, (qui) se mâchure de noir. Au damier des champs, à la dispersion ancienne des villages, aux larges mailles des voies vicinales se surimposent le réseau des chemins de fer, le fouillis obscur des terrils, des chevalements et des carreaux, les plaques géométriques des corons dans un pays sans grand relief pour briser la vue." (p. 31).
Les auteurs, après avoir planté le contexte, passe en revue les lieux et les différents corps de métiers, au fond puis au jour. Ils nous font ensuite visualiser la carrière du mineur, son patois, ses luttes, ses loisirs et fêtes, sa vie quotidienne.
Un documentaire intéressant, dont on tire beaucoup d'informations, et la conclusion qu'Emile Zola a voulu dans Germinal insister sur la misère des mineurs, créer des images frappantes pour faire passer un message fort, et donc obligatoirement oblitérer les jeux et moments heureux de la vie quotidienne de ces mineurs.