Consigne des minutes heureuses*
Nouvelles
Consigne des minutes heureuses / Françoise Lefèvre
Consigne des minutes heureuses / Françoise Lefèvre
Le recueil s'ouvre sur une promenade dans Paris avec André Hardellet, la dernière, qui affuble la narratrice - auteur de cette gentille expression "Vous êtes la marchande de la boutique des minutes heureuses !". Le ton est donné : l'auteur va décrire dans ces treize textes ces petits bonheurs ou malheurs furtifs du quotidien, cherchant à créer une complicité avec son lecteur qui peut-être a pu voir et ressentir ces mêmes choses, mais sans savoir aussi bien les mettre en mots. A un moment donné, elle fait le point sur tout ce dont elle a envie de parler, une liste des idées à décliner, à écrire, puis les reprend précisément : Une tartine de saindoux, soigner un enfant très peu malade, suspendre le linge dehors,...
J'avais glané cette idée de lecture sur le blog d'une de mes consoeurs, mais ce recueil ne m'a visiblement pas aussi émue qu'elle (désolée !). A vrai dire, dès le premier récit, j'ai retrouvé cet égocentrisme assez français de l'écrivain qui se met en vedette pour parler de ses relations, pour parler de lui, de sa façon d'écrire. Moi, je. Et puis cette nostalgie un peu désuète qui fait son revival, à la suite de Philippe Delerm... Non, cela m'a déplu. Peut-être n'était-ce pas non plus le bon moment, le bon contexte... D'ailleurs, je suis semble-t-il la seule à l'avoir moyennement apprécié. Tant pis. Au suivant.
Voici d'autres critiques, positives cette fois :
- Calou, l'ivre de lecture
- La Factory
- Mes lectures
J'avais glané cette idée de lecture sur le blog d'une de mes consoeurs, mais ce recueil ne m'a visiblement pas aussi émue qu'elle (désolée !). A vrai dire, dès le premier récit, j'ai retrouvé cet égocentrisme assez français de l'écrivain qui se met en vedette pour parler de ses relations, pour parler de lui, de sa façon d'écrire. Moi, je. Et puis cette nostalgie un peu désuète qui fait son revival, à la suite de Philippe Delerm... Non, cela m'a déplu. Peut-être n'était-ce pas non plus le bon moment, le bon contexte... D'ailleurs, je suis semble-t-il la seule à l'avoir moyennement apprécié. Tant pis. Au suivant.
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