Le Papillon des étoiles * / Bernard Werber
Science-fiction - Jeunesse
Je viens de terminer les épreuves non corrigées du Papillon des étoiles de Bernard Werber...
Le papillon des étoiles
Je viens de terminer les épreuves non corrigées du Papillon des étoiles de Bernard Werber...
Le papillon des étoiles
L'histoire en une phrase : Après avoir fui la Terre menacée d'autodestruction, un jeune couple s'installe sur une nouvelle planète, comme les nouveaux Adam et Eve.
L'histoire en trois phrases : Un milliardaire finance le projet d'un jeune scientifique Yves Kramer pour construire un super-voilier solaire permettant de sortir des milliers d'êtres humains du système solaire. 144 000 personnes sont recrutées à bord, sachant qu'elles partent à jamais de la Terre et mourront dans l'espace, génération après génération, avant d'arriver sur la planète ciblée. De ces 144 000 il ne demeurera qu'un couple, au fil des guerres dans ce huis-clos, lequel atterrira sur cette nouvelle Terre...
Verdict : Mes prévisions s'avéraient justes. Non seulement j'ai lu sans déplaisir ce nouveau roman (et premier pour moi) de Bernard Werber, mais encore je l'ai lu d'une traite, sans le laisser tomber, même si j'en connaissais déjà quelque peu la fin. Monsieur Werber, vous avez tenu parole !
En effet, Le Papillon des étoiles fait partie de ces romans de SF qui peuvent être lus dès l'âge de 13 ans : il se lit d'une traite, très très facilement, possède ce petit souffle de l'aventure spatiale qui séduira de jeunes et de moins jeunes lecteurs. Certes, l'intrigue elle-même n'est pas très originale. Et même truffée de clichés.L'attitude de ses personnages hautement prévisible. Son style passe-partout. Mais tout cela je m'en doutais un peu. En fait, cela se laisse lire, et, on verrait sans peine ce roman divertissant et gentillet être adapté au cinéma par Walt Disney. Mais le dénouement, tout de même, nous réserve une surprise, une pirouette remettant en perspective de manière ironique cette tentative de fuite, cette histoire de l'humanité.
Je ne bouderai donc pas en snob ce roman : ainsi, j'avoue passer un bon moment en regardant Mary à tout prix, tout comme je peux d'ordinaire apprécier plutôt des films comme Dogville ou In the mood for love. L'envie du moment est différente. Pour les romans aussi... Voici un roman grand public qui divertira agréablement ses lecteurs le temps d'un déplacement en train, par exemple, en particulier les adolescents. Un roman qui ne rebutera pas les non-lecteurs, et constituera peut-être une incitation à poursuivre son plaisir vers d'autres lectures. Du pur divertissement.
L'histoire en trois phrases : Un milliardaire finance le projet d'un jeune scientifique Yves Kramer pour construire un super-voilier solaire permettant de sortir des milliers d'êtres humains du système solaire. 144 000 personnes sont recrutées à bord, sachant qu'elles partent à jamais de la Terre et mourront dans l'espace, génération après génération, avant d'arriver sur la planète ciblée. De ces 144 000 il ne demeurera qu'un couple, au fil des guerres dans ce huis-clos, lequel atterrira sur cette nouvelle Terre...
Verdict : Mes prévisions s'avéraient justes. Non seulement j'ai lu sans déplaisir ce nouveau roman (et premier pour moi) de Bernard Werber, mais encore je l'ai lu d'une traite, sans le laisser tomber, même si j'en connaissais déjà quelque peu la fin. Monsieur Werber, vous avez tenu parole !
En effet, Le Papillon des étoiles fait partie de ces romans de SF qui peuvent être lus dès l'âge de 13 ans : il se lit d'une traite, très très facilement, possède ce petit souffle de l'aventure spatiale qui séduira de jeunes et de moins jeunes lecteurs. Certes, l'intrigue elle-même n'est pas très originale. Et même truffée de clichés.L'attitude de ses personnages hautement prévisible. Son style passe-partout. Mais tout cela je m'en doutais un peu. En fait, cela se laisse lire, et, on verrait sans peine ce roman divertissant et gentillet être adapté au cinéma par Walt Disney. Mais le dénouement, tout de même, nous réserve une surprise, une pirouette remettant en perspective de manière ironique cette tentative de fuite, cette histoire de l'humanité.
Je ne bouderai donc pas en snob ce roman : ainsi, j'avoue passer un bon moment en regardant Mary à tout prix, tout comme je peux d'ordinaire apprécier plutôt des films comme Dogville ou In the mood for love. L'envie du moment est différente. Pour les romans aussi... Voici un roman grand public qui divertira agréablement ses lecteurs le temps d'un déplacement en train, par exemple, en particulier les adolescents. Un roman qui ne rebutera pas les non-lecteurs, et constituera peut-être une incitation à poursuivre son plaisir vers d'autres lectures. Du pur divertissement.